lundi 30 juin 2008

Intervention de Maruja PARRA Présidente de la FEDACH-FRANCE

Je suis heureuse de m’adresser à vous dans cette circonstance solennelle, où nous fêtons en quelque sorte l’anniversaire du Président Salvador ALLENDE. À ceci près que c’est un anniversaire en son absence, par défaut, ou par contumace, comme on dit en justice. Un hommage par contumace. Et ce dur mot nous ramène à une réalité difficile à occulter. Salvador ALLENDE, présidente légitime du Chili est mort parce que nous l’avions choisi pour cette responsabilité_ la responsabilité SUPREME, comme on dit.

SUPREME, c’est la dernière. Il n y en avait plus, après celle-là. Et il la prise comme nous la lui avons donnée, simplement, avec confiance, et surtout avec une très grande loyauté.

En tant que présidente de la FEDACH, la Fédération des Associations Chiliennes en France, je me sens un peu la porte du peuple chilien en France, de celui qui a contribué à élire le Docteur ALLENDE à la présidence de la République du Chili, du peuple qui a subit après sa mort des violences qui se sont déchaînées au Chili, la peur, la souffrance et l’exil.

Le fait que la communauté chilienne en France soit organisée, soit en grande partie fédérée, signifié quelque chose. Cela signifie sa volonté d’exister démocratiquement, organiquement, fraternellement, ici en France. Cela prouve que notre action est marquée par la profonde conviction, d’accomplir le devoir de con server et de transmettre, aux nouvelles génération les principes qui nous ont guidés sur le chemin vers le rêve de PLUS D’HUMANITE, LIBERTE, JUSTICE ET FRATERNITE, dont était porteuse l’Unite Populaire que nous la devons principalement à un homme, hors du commun, Salvador ALLENDE GOSSENS.
En son absence, par défaut, ou par contumace, comme on dit en justice. Un hommage par contumace. Et ce dur mot nous ramène à une réalité difficile à occulter. Salvador Allende, président légitime du Chili, est mort parce que nous l’avions choisi pour cette responsabilité — la responsabilité SUPREME, comme on dit.

SUPREME, c’est la dernière. Il n’y en avait plus, après celle-là. Et il l’a prise comme nous la lui avons donnée, simplement, avec confiance, avec sérénité, et surtout avec une très grande loyauté.

En tant que présidente de la fedach, la fédération des associations chiliennes en France, je me sens un peu la porte parole du peuple chilien en France de celui qui a contribué à élire le Docteur ALLENDE à la présidence de la République du Chili,du peuple qui a subit après sa mort, des violences qui se sont au Chili, la peur, la souffrance et l’exil.

Le fait que la communauté chilienne en France soit organisé en grande partie fédérée, signifie quelque chose.

Cela signifié sa volonté d’exister démocratiquement, organiquement, fraternellement ici en France. Cela prouve que notre action est marquée par la profonde conviction d’accomplir le devoir de conserver et de transmettre aux nouvelles générations les principes qui nous ont guidés sur le chemins vers le rêve de PLUS D’HUMANITE , LIBERTE, JUSTICE ET FRATERNITE, dont était porteuse l’Unité Populaire, que nous la devons principalement à un homme, hors du commun , SALVADOR ALLENDE GOSSENS

Merci

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